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Merci beaucoup à toi d'etre venue surtout Dotch. C'est bien la moindre des choses que de t'inviter. Tant que nous t'avons sous les yeux, nous ne risquons pas d'etre intérronpus pour devoir aller te libérer de l'autre coté de la champagne.

C'était donc bien plus sur pour nous de t'inviter. Fauville fit un sourire
Je rigole Dotch, c'est un plaisir de te recevoir, nous avons ainsi l'occasion de recontrer la petite kyane.

S'abbaissant vers la petite fille :
Merci beaucoup, nous sommes tres heureux que tu aie pu venir avec ta maman. Si les discutions des grands t'ennuyes, n'hésite pas à aller jouer dans le salon ou dehors. Enfin, si ta maman le veut bien.


un appel vint de la chapelle, Fredstleu était pret et singalait que l'on pouvait entrer pour suivre l'office.

Mes amis, je vous invite à maintenant passer dans la Chapelle, Fredstleu est fin pret à nous recevoir.

Avec un peu (beaucoup) de retard, le proc entra. On sentait chez lui les conséquences d'un voyage rapide et délicat. Il avait été retenu à Melun, pour une affaire importante, sur son nouveau domaine. Venu seul, sa fille ayant du arrivé peu avant, son épouse ayant préféré garder le lit pour se reposer de sa fatigue post accouchement. Il vit un zélé serviteur, s'approcha de lui...

Hola mon cher, pouvez vous me dire où je puis trouver mes amis Fauville de Chéroy et sa fiancée Eleusis de Cluny. Je suis le Vicomte SanAntonio D'Appérault, et je suis affreusement en retard.

sortant de la chapelle Fauville passat par le halle d'entrée pour regagner la salle à manger, il appercu SanAntonio en train de donner sa veste à un serviteur


SanAntonio, Monsieur le Vicomte, saluant son invité. Je vois que vous n'etes pas si en retard que celà, nous vous attendions un peu plus tard, vous arrivez au bon moment pour le repas.
Emboitez moi le pas et allons trouver un siège.

Surpris de voir l'écuyer de son jeune frère, SanA sourit :

Fauville, mon vieil ami. Heureux d'être enfin chez vous. Je m'excuse pour ce retard, un léger contre temps à Melun, enfin, ce soir est fête je ne veux point vous déranger avec mes problèmes. Ayla n'a pu venir, elle est encore très fatiguée. Mais passons à table, j'ai une grande faim !

C'est justement là où je me rendais, à table.

Je comprends qu'elle n'aie pu venir, les enfants en bas age ne sont que trop souvant bruillant la nuit et la présence de leur mère est tres réconfortante.

Je tiens à vous faire part de toutes mes félicitations pour votre titre de vicomte, je suis certain que les gens de Melun seront bien défendus par vous.

Allons à table. Je sents d'ici les odeur de faisan.

les deux hommes se dirigèrent vers la salle à manger.

SanA marchait lorsqu'il réalisa quelque chose. Il s'arréta tout net :

Fauville, nous avons oublié Shadow, il amenait les montures à l'écurie me laissant venir au plus vite. Nous devrions l'attendre.

Arrivant essouflé du pas de charge auquel il a rejoint son hote et le Vicomte...
Il se reposa un instant les mains sur les genoux.. reprenant sa respiration,

Bonsoir mon ami, je suis vraiment heureux pour toi.. quand aurons nous la joie de voir ta chere et tendre?
Et un verre me ferais le plus grand bien, j'ai grand soif apres cette cavalcade.. Azelma viendra plus tardivement..

Bonsoir Shadow, merci d'etre ici ce soir. C'est bien qu'azelma nous rejoingne. Nous ferons vivre ce manoir ce soir.

Viens donc dans la salle à manger prendre du vin, comme tu dis celà te fera le plus grand bien.

reguardant SanAntonio: Monsieur le Vicomte n'attends plus personne ? nous pouvons aller manger alors.

Et les trois hommes se rendirent dans la salle à manger.

Le Prévôt entra, rapidement, les traits tirés. Il demanda où en était la cérémonie. Malheureusement, celle-ci était évidemment terminée. On lui indiqua la direction de la salle à manger. Il se dépêcha donc pour retrouver tout le monde et féliciter Fauville et Eleusis. Alors qu'il parcourait le couloir, il reconnut San Antonio, Shadow et Fauville, de dos.

"Bonsoir messieurs, je suis horriblement en retard. Les affaires... Nous avons quelques soucis avec certaines frontières..." dit-il en faisant un clin d'oeil à San antonio. "Je suppose que tout le monde est déjà à table??"

"Felicitations, cher Fauville! Je suis extrêmement gêné d'avoir raté la cérémonie! Tout s'est bien déroulé?"

Totalement en retard.. Fur arriva un peu éssoufflé...

Très chère Eleusis, mon cher frère, excusez moi pour ce retard... Je suis confu.

Pour rien au monde j'aurais raté cet évenement

entendant courir derrière lui, Fauville se retourna, il appercu Tomazek et passant la porte d'entrée son propre frère Fur.

Ne vous excusez pas, mais venez à table, si les plats sont froid à notre arrivée, il sera temps seulement de s'excuser. Je suis bien contant que vous soyez venu quelque soit l'heure.

Fauville leur envoya un clin d'oeil et tous ensemble se dirigère vers la piece où les tables étaient dressées.

Alors que les invités commencaient à gouter aux mets, un serviteurs arriva aux coté de Fauville et lui glissa quelques mots :

Messire Fauville, votre suzerain vient de déposer sa monture aux écuries, il va arriver dans quelques instant dans la hall. Comme vous nous l'aviez demandé, nous vous en prévenons.

Fauville s'essya les main et s'excusa aupres de ses voisins de tables puis se leva en direction de l'entrée.

Au moment où Fauville arrivant dans le hall, Amro y faisait son entrée.

A vous voici !!

J'espère que vous avez fait bonne route. Ce soir les soucis du duché sont loin, la révolte de Montargis se passera bien de nous quelques heures. Nous avons quelques chopines à descendre. Allez venez avec moi mon suzerain.

Alors je te suis Fauville !

Allons donc descendre quelques coupes, la route m'a donné grand soif !

Il suivit Fauville dans les dédales de Chéroy pour aller retrouver leurs amis attablés.

Un coursier arriva à la seigneurie de Chéroy. Il portait frappées sur sa poitrine les armes des Malpertuis. Après s'être incliné devant le majordome, il le pria de remettre au maître du domaine un pli cacheté. C'était une lettre de la baronne de Malpertuis, Elissa :

Citation :

Messire de Chéroy,

J'espère que cette missive arrivera à temps en votre seigneurie. Je l'écris à la hâte en priant pour que mon coursier ait assez d'un jour et demi pour gagner votre domaine.

Je n'ai pu, hélas, me préparer suffisament à temps pour me déplacer à vos noces. J'attends un enfant, bonheur que je souhaite à votre promise, et cela me fatigue. J'ai beaucoup voyagé ces temps, et il me faut du repos.

Cette lettre, à défaut de remplacer ma présence ici, atténuera, j'espère, la déception de ne point me voir alors que l'on m'attendait.

Recevez tous mes voeux de bonheur, vous et votre dame.

Qu'Aristote veille sur vous deux,

Elissa de Volpilhat, baronne de Malpertuis.

Remontant de la cave, Fauville arriva dans le Hall et appercu Fredstleu:

Aaaah vous voici donc mon père, nous nous demandions justement où vous aviez bien pu partir apres la cérémonie. Je m'en vais prendre un peu l'air au dehors mais je vous en prie, la salle à manger est droit devans. Nous avons sortit un de ces petit vin .... exquis. Vous m'en direz des nouvelles.

Alors qu'il allait sortir, Fauville entendus la voix d'Eleusis se dirigant vers le hall

Krystell et Eleusis arrivaient dans le hall. Eleusis vit Fauville en grande discussion avec le père Fredstleu...

Bonne route Krystell prenez soin de vous

Merci mon amie, saluez votre promis pour moi il a l'air en grande conversation et je ne voudrai pas l'interrompre.

J'espère que nous nous reverrons bientôt.

Krystell se glissa dans la nuit et retrouva sa voiture qui était déjà attelée.

Ah ma douce, vous voici, j'allais justement prendre un peu l'air dans le parc, m'accompagneriez vous pour une petite promenade nocturne ?

Ca me fait penser que nous n'avons toujours pas été faire notre promenade dans le verger de Langres.

Non en effet tout s'est ligué contre nous pour nous en empêcher... Mais ce soir profitons en ! je vous suis mon coeur...