1eres chasses à Sennely

Les chiens filaient, les hommes les suivaient. Léanore alla sur une petite hauteur afin de suivre la chasse. Là le vent était plus piquant et vif et elle s'était enveloppée d'une cape plus chaude.

Elle guettait le son du cor qui annoncerait la fuite, ou la mort de la bête

[Début de mois chargé irl sorry, et comtale bordelique pour ma poupée donc bouhhhhh à elle et à moi et nos excuses aux joueurs]

Le comble c’est qu’elle en était encore à chercher comment présenter l’auvergnat quand celui-ci prit la parole. Un comble enfin non pas trop, les présentations de gens ce n’était pas vraiment son truc à dire vrai. Elle craignait toujours d’oublier un truc qui pourrait froisser le concerné. Moral rouergate les gens c’est sensible alors du coup maintenant elle tourne quinze fois sa langue dans sa bouche avant de parle donc forcement c’est long. Enfin bref le Balsac fit fi de ce fait et fit la présentation.
La blonde écouta les dires du blond qui semblait assez triste d’avoir manquer les échappées sauvages.

Vous êtes toujours le bienvenu à Rodez ou bien pourrais-je venir vous rendre visite. Je vais prochainement aller en orléanais voir mon jeune frère et Mère un arrêt en Auvergne serait plaisant.

Et en parlant d’échappée sauvage, la chasse fut lancée… taïaut, taïaut… Maitre stratus et Dame Aurore s’élancèrent suivi par Ursus et maitre Jehan. Que faire hum Semias la questionna.

Je vous suis, cela me fera une découverte de plus, puis je ne vais laisser filer votre compagnie. Et elle se mit en selle, même si sa robe ne s’y prêtait pas vraiment, puis se toura vers la demi-portion qui se cachait derrière leur père. Eh toi petit prince que fais-tu ?

Le petit Hadrian avait repéré un magnifique cheval, il ne savait pas à qui ou pour qui il était destiné. Le dernier Chéroy attendait, voir si quelqu'un allait le prendre, tout le monde partait, enfin, tous les messieurs, à l'annonce de l'ouverture de la chasse. Surement que ces personnes voulait être au premier rang pour voir l'animal abattu ou pour voir les chiens courir, cela devait les exciter. Hadrian commença à réfléchir à un plan pour prendre ce cheval qui était alezan avec les crins lavés, voilà sa robe. Le Chéroy vit l’écuyer et le cheval s'approcher de lui, encore, encore, jusqu'à se que le petit puisse touché l'animal. Le plus drôle était que le cheval lui était destiné à lui, au petit Chéroy. C'est à se moment là que sa fabuleuse sœur le sorti de ses pensée en lui demandant simplement "Eh toi petit prince que fais-tu ?". Petit prince... Quel estime de la part de sa sœur, il était vrai que Hadrian n'était pas grand, et il empilé les surnoms les uns sur les autres, enfin, pour celui là, il ne fallait pas ce plaindre il était... Majestueux ?
La demi portion, comme l'on peut le dire, se contenta de sourire à sa sœur le nez et les joues toujours aussi froides laissant, de temps en temps, le vent se prend dans les cheveux mi-long de l'enfant provoquant un frisson. Il la fixa et lui répondit.

Le petit prince vous suis ! D'une part, je vais, donc, assister et m'intéresser à la chasse et d'autre part, je vais te surveillé car j'ai vue que tu avait un... Invité ? Le petit regarda l'invité en question qui était assez éloigné et que Hadrian ne connaissait pas de tête.

Il lui sourit tout amusé de la situation, avec l'aide de l'écuyer il monta à cheval, saisit les rennes et regarda sa sœur en lui adressant toujours un petit sourire taquin, tel un petit frère avec sa grande sœur.

Je te laisse passer devant, je ne voudrais pas trop de dépasser et par ce fait, te perdre !